Expositions

→ décembre 2016

Parution Fisheye magazine

https://www.fisheyemagazine.fr/decouvertes/actu/les-coups-de-coeur-101/

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9 juin → 9 aout 2016

Photographie de l’Espace Saint-Cyprien Toulouse

 » Couleurs »

Mené par Sylvie Fontaine

https://www.facebook.com/events/1790779714477409/

Capture d’écran 2016-06-10 à 13.17.20


24 juin → 28 août 2015

Photographie de l’Espace Saint-Cyprien Toulouse

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« Images perturbées »
Mené par Jean-Luc Aribaud

Images perturbées, oui, par tout ce que l’on voudra : premiers plans insolites, arrières plans improbables, arrachements, blessures, distorsions, accidents de toutes sortes. Une manière de dire que si la photographie transite bien par le réel, sûr et déterminé, elle n’en possède pas moins un inattendu qui fait son charme. De la technique, il en faut, il y en a, bien sûr, mais comme une porte d’entrée sur des univers insolites et variés dont le point commun est de montrer un dérèglement assumé. Ici, le surréalisme de certains paysages en dé-constructions côtoie le fantastique quelque peu ébranlé de portraits pleins d’humour. Chaque adhérent de l’atelier confirmé y est allé de son petit grain de sable créatif, au sein même de la grande mécanique à voir qu’est la photographie. Un pur plaisir de l’instant…incisif : celui qui prend en même temps qu’il entaille et ouvre sur autre chose.

Isabelle Barba-Legrais, Jérémie Bernard, Agathe Broc, Guylaine Cervera, Laurent Corte, Yann Deleplanque, Yannick Dhiser, Catherine Fernandez, Hélène Nugnes – Destruhaut, Marc Tran.

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14 février  → 14 mars 2015
Photographie Exposition « Le parcours Garonne » –

(agenda 21= L’Agenda 21 est un plan d’action pour le 21e siècle adopté par 178 chefs d’État lors du sommet de la terre à Rio. Chaque état retranscrit ensuite à ses collectivités les différents domaines d’apllications ur lesquels chcunes d’entres elles peuvent travailler (pauvreté, environnement, logement…)

L’histoire de Cazères et de la Garonne est étroitement liée. Au fil du temps, ils se sont rapprochés et éloignés. Une relation altérée par l’évolution de notre société contemporaine.

Garonne comme elle était appelée : tantôt sauvage, tantôt apprivoisée, voire oubliée, « Garonne » a pris différents visages. Mais elle a été aussi victime de ces usages.

On l’a fréquenté, on s’y baignait, on y apprenait à nager, on s’y promenait.

La place de « Garonne » dans l’imaginaire de chacun n’a pas toujours été la même et a évolué avec le temps. Elle eut différentes interprétations dans notre imaginaire.

Les liens avec les Cazériens se sont distendus, on a voulu l’artificialiser, l’utiliser. Elle est devenue la Garonne, plus impersonnelle, maitrisée, moins proche. Outre cette relation effacée, la principale conséquence fut le changement de panorama de ses berges. Ces berges, véritable intermédiaire entre l’homme et la nature, entre l’homme et l’eau furent abandonnées, et ne furent plus considérées.

On l’utilisait sans rien lui donner.

Puis un regain d’intérêt ces dernières années, une nouvelle conscientisation réapparut. Notre rapport à la nature en tant que véritable personnage, partie indissociable de notre équilibre évolua. « Garonne » commençait de nouveau à renaitre.

L’aménagement de ces berges en fut un exemple fort. Notre imaginaire s’en sentit (ré)imprégné. Les berges redeviennent ce territoire intermédiaire, cet espace que l’on partage et que l’on visite, ce paysage usagé.

« Garonne » redevient un élément social, sociabilisant, familier.

Les rives reprennent vie, renaissent dans notre imaginaire et construisent le dialogue entre le paysage fluvial et les Cazériens.

Les travaux d’aménagement tels que le Jardin Garonne, la Roselière ou le Parcours Garonne, en sont des réalisations concrètes : des retrouvailles, un renouement avec le fleuve. La roselière ainsi que le Jardin Garonne présentent un fort intérêt écologique avec la diversité des habitats qu’elle offre pour la faune et la flore.

Le Parcours Garonne est à la fois une ballade pédagogique et ludique pour la population, avec l’Hourride, la Laque, la Base nautique…Garonne reprend son existence, le mythe qui est lui est associé. Un lieu de plaisir, de convivialité, une résistance à une oppression de la vie moderne, un moment suspendu, un espace à contempler.

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